20 octobre 2009
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exclusif simpwest...
vidéo karl lagerfeld...
moi j'aime bien me rouler dans le fumier...
merveille chic élégance a l'état champêtre..
pour son défilé 2009 le grand karl a reconstitué une grange au beau milieu du
grand palais...enfilez votre salopette...
nom karl otto lagerfeldt
né le 10 septembre 1933 (76ans) a hambourg allemagne
père commerçant scandinave
mère prussienne
record karl lagerfeld a perdu 42 kgs en 13 mois
profession couturier directeur artistique de chanel photographe éditeur
collection personnelle "K" par karl
film la doublure
jeu vidéo karl lagerfeld prête sa voix dans "grand theft auto iv"
ola c'est la ferme célébrité...
un petit cochon au milieu des petites cochonnes..
heu..pardon karl et carla...
trop top de ma touffe de fashion victime frité...
vidéo rose...
moi je sens bon..la rose...
c'est sûr que ça sent meilleur que le fumier...
"rose" est en concert le 15 décembre a la cigale...
nom keren meloul
pseudo rose le nom vient du film "the rose"
née le 24 mai 1978 (31ans) a nice
profession chanteuse guitariste auteur compositeur
genre folk variété`
exclusif simpwest...
vidéo ménie grégoire...
moi j'suis un dynausaure de la radio...
ménie grégoire est aussi une voix qui vous laisse sans voix...
Tous les jours, de 1967 à 1981, sur les ondes de RTL, Menie Grégoire a répondu aux
questions des auditeurs, et plus particulièrement des auditrices. Elle a prêté une oreille
attentive aux femmes et les a aidées à surmonter leurs difficultés et leurs souffrances.
Son émission, Allô, Menie, s'est ainsi imposée comme le miroir d'une société en pleine
mutation."Un jour, j'ai eu un curé qui m'a écrit en me disant : "Merci Menie, vous
m'apprenez à confesser." J'étais très contente. Seulement je ne confessais pas, parce
qu'il n'y avait ni bien ni mal, ni permis ni pas permis. Il y avait la réalité, il fallait
la dire et c'était l'essentiel de l'émission : il fallait dire le vécu, la réalité d'une
époque avec ses problèmes...
nom marie laurentin
pseudo ménie grégoire
née le 15 août 1919 (90ans) a cholet
père architecte
soeur de rené laurentin théologien de renom
mariée a roger grégoire conseiller d'état
enfants 3
profession journaliste et écrivain
record animatrice radio RTL pendant 15 ans de 1967 a 1981
livres 1999 : Les Dames de la Loire, Plon
2002 : La Fortune de Marie, Plon
2003 : Une affaire de famille, Plon
2007 : Comme une lame de fond, Calmann-Levy
ménie grégoire intime...
On avait vraiment besoin, à cette époque-là, de se parler dans la solitude de chacun. C'était le monde
à l'envers de celui d'aujourd'hui. Tout était interdit ; on ne parlait de rien ; on ne pouvait rien demander.
C'est pour ça que mon émission a fait un boom terrible, parce qu'il y avait enfin un endroit où on pouvait
trouver quelqu'un qui écoute et où on pouvait tout dire. Il n'y avait que des âmes ; il n'y avait pas de corps
on ne pouvait reconnaître personne. On pouvait tout dire comme si on avait été dans un confessionnal
ou sur le divan du psychanalyste.
C'est très difficile de parler de soi, surtout quand toute votre vie a été tournée vers les autres. Ce n'est
pas de moi qu'on parlait à la radio, c'est de tous ces gens qui m'écoutaient, qui me téléphonaient ou qui
m'écrivaient.
Alors, qui suis-je ? Je suis née sous le prénom de Marie, un 15 août, dans un pays très chrétien. J'aurais
dû m'appeler Marie, mais je n'ai pas voulu. (...) Je n'ai jamais très bien su pourquoi. (...) J'ai refusé un nom
qui, probablement pour moi, contenait une façon d'être, un lourd bagage chrétien et classique.
Je ne sais pas trop comment dire de quelle manière mon père, cet homme qui faisait peur à tout le monde,
a été pour moi à la fois un modèle, un héros et, en même temps, quelqu'un à qui je pouvais tout dire et tout
demander. Je pense que ça a fabriqué une grande partie de moi-même. Ce qui fait que, quand j'ai commencé
à me battre pour les femmes, on n'a pas pensé que je pouvais être féministe. L'idée n'est venue à personne
parce que je n'en voulais pas aux hommes. Je voulais la liberté et le bonheur des femmes, mais je n'en
voulais pas aux hommes.
Je ne peux parler de ma mère qu'avec pitié, parce qu'elle était la victime de cette époque. C'est une femme
qu'on a enfermée dans le mariage (...). Et moi, petite fille, ça me faisait peur de vivre comme ça. Ma mère
a certainement été cassée, détruite par ce que devait être une femme à cette époque, surtout dans un
pays très religieux où tout doit être accepté pour la gloire du Seigneur. Ma mère ne m'a rien apporté que
l'horreur de la situation dans laquelle elle se trouvait et une image féminine épouvantable."