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simpwest aujourd'hui...


et moi ma gapette...c'est pour quand ??
ola miche dorée...tu m'as promis
ma casquette touffe de frites...!!
c'est moi la star de simpwest...!!

this is a limited edition special anniversary
only 10000 simpwest caps available !!
édition limitée casquette collector !!



Prix:  28 euros ttc /
bleue france / blue/cream beige



white cap /blanche     red cap/rouge 


Vidéo de feu coco chanel...
défilé de stars en folie...!!
       

ils sont venus ils sont tous là moins claudia schiffer
laura smet,marianne faithful, anna mogladis,
michelle yeoh...natty belmondo...
bernadette chirac, donnedieu de vabre, la baronne
de furstenberg, kanye west, olga kurylenko
la james bond girl de quantum solace, et la
star planètaire qui s'prend pas pour la queue
d'la poire sur sa planète "pirates des caraîbes"
keira knightley inaccessiblement accessible, bon
c'était bon...c'était bofff..c'était show-bouillant...
c'était chanel quoi...!!

Vidéo "king guillaume" avant première
avec pierre richard et florence foresti...

Vidéo fabrice et maurice bénichou"
2 gueules de boxeurs qui font
leur cinéma...
          
    
 ils
sont sympas ces deux là je les ai croisé
au hasard de ma promenade quotidienne
dans le 8ème arrdt de paris à l'heure
du déjeuner...
 maurice bénichou tourne un film
"munch"avec nicolas cazale et son neveu
l'ex champion du monde de boxe fabrice
bénichou était là aussi en spectateur admiratif
de son oncle...c'est du live !!

Vidéo line renaud à vivement dimanche !!

Les Osmonds brothers...
Vous vous en souvenez...?? c'est toute ma
jeunesse...!!

 
 jay alan wayne merrill and donny osmond...     donny...   

 moi j'ai entendu parler de line renaud en 1972 quand elle nous a
amené d'amérique les fabuleux Osmonds brothers...
à l'époque je suis allée les voir au théâtre du châtelet avec
3 euros en poche ...
et donny était franchement adorable...alors merci line !!

Les Osmonds c'était ça...!!
Vidéo flashback !!

L'incroyable parcours sans faute de
Line Renaud...!!




Line renaud a dit que son seul regret est de ne pas avoir pu
être mère...mais comme elle a adopté plusieurs artistes comme
ses propre filles muriel robin michelle laroque etc...
alors tout va bien pour elle ...
line renaud a fait tellement de choses dans sa vie au cabaret
à la télévision, au cinéma et au théâtre marigny en ce moment 
dans "très chère mathilde"...



Evènement :
Rentrée théâtrale -
A partir du 28 janvier 2009

Très Chère Mathilde
Line Renaud sera sur les planches du Théâtre Marigny
aux côtés de Samuel Labarthe et Raphaëline Goupilleau
dans une pièce d’Israël Horovitz,
intitulée « Très Chère Mathilde », mise en scène par  Ladislas Cholat.

« Très Chère Mathilde »
d'Israël Horovitz
avec
LINE RENAUD
Samuel LABARTHE
Raphaëline GOUPILLEAU

Mathias, new-yorkais bientôt cinquantenaire, totalement fauché et un peu désabusé,
arrive à Paris pour vendre au plus vite l'unique bien que son père lui a laissé en héritage :
 un magnifique et immense appartement. En y entrant, il tombe nez à nez avec Mathilde,
élégante vieille dame qui vit avec sa fille Chloé. Mathias découvre alors que l'appartement
 est en viager et que son héritage ne sera pas facile à obtenir...

Du mardi au vendredi à 20h30
le samedi à 16h00 & 21h00
[Relâches exceptionnelles les 12 février & 5 mars 2009]

Tarifs : 50€ / 41 € / 31 €

Line Renaud une artiste qui ne chôme pas !!
 Line Renaud vient de célèbrer ses 80 printemps et les invités
triés sur le volet en disent long sur sa popularité...bon c'est vrai
qu'il y en a qui aime aussi les bons gueuletons...nana mouskouri,
alain delon, muriel robin, ex président jacques chirac etc...
sont tous venus faire la bise à cette infatiguable multi performer...!!

  tous les amis de line sont venus  lui souhaiter un bon anniversaire au

pré catelan lenôtre à paris...

Ses 80 ans au Pré Catelan.

Elle fait partie de ces rares artistes qui ont toujours occupé le devant de la

scène sans jamais quitter le cœur des Français. À tel point qu'on ne sait plus

quand leur carrière a commencé et qu'on n'imagine pas quand elle finira.

Miraculeux comme le temps semble avoir glissé sur Line Renaud, dont la vie

se confond tout à la fois avec le music-hall, la chanson, le théâtre et le cinéma.

Du coup, personne parmi les trois cents invités dont Mmes Alliot-Marie,

Simone Veil, Bernadette Chirac, Mireille Darc, Muriel Robin,

MM. Jean-Louis Debré, Jean-François Copé, Bertrand Delanoë, Alain Delon,

Michel Leeb, Dany Boon conviés au Pré Catelan pour son anniversaire ne se

posait la question de l'âge de leur hôtesse. Ils l'avaient même oublié, cela

n'avait plus d'importance.

C'était même impossible puisque pour paraphraser Alphonse Allais, l'âge

change tout le temps. Tout comme Line Renaud qui change au gré de ses rôles,

sans rien perdre de cette formidable énergie.

hello line relou...heu...salut praline ...
tu m'files ta cabane au canada...?? !!

               
line renaud hier...            et line renaud aujourd'hui

Vidéo "happy birthday line" !!

une pêche d'enfer...

surprise...surprise...

Premier passage en vedette :
Théâtre de l'A.B.C. en 1950 !!

Le 2 juillet 1928, une jolie petite fille vient au monde chez les Enté, à Pont-de-Nieppe, près d' Armentières, dans le

Nord de la France, dans une famille modeste dont la maman est sténodactylo et le papa camionneur dans une usine

de textile.
D'une blondeur angélique, gratifiée d'un regard au bleu étincelant que rehausse une sorte de léger voile reflétant

sans doute les brumes de sa région natale, elle portera le prénom de Jacqueline.
S' il passe les jours de la semaine sur les routes, son père met à profit les week-ends pour exercer ses talents

de trompettiste dans une fanfare locale, et il procure en toute logique ses premières notions de musique à la petite

Jacqueline. À son entrée à l'école primaire, la fillette chante déjà fort gracieusement, et se distingue si bien qu'elle

remporte à l'âge de 7 ans un concours d'amateurs.
Alors que les sinistres rumeurs du conflit avec l' Allemagne s'affirment de plus en plus et que la guerre paraît

inévitable, le père de Jacqueline est mobilisé, partant pour une absence qui durera cinq années et au cours de

laquelle il sera un temps prisonnier.

Durant ce long éloignement, ce sont trois femmes qui prendront en charge l'éducation de l'enfant : sa mère, bien sûr,

mais aussi son arrière-grand-mère et sa grand-mère maternelle.
Dans le café que tient sa grand-mère à Armentières, chantant pour eux avec le même charme tranquille qu'elle

arborera sa vie durant, la petite Jacqueline fait la joie des soldats français ou alliés qui cantonnent dans les

parages avant de partir au combat tandis que sa mère rêve de faire d'elle une institutrice.
Mais sa scolarité révèle davantage de dons pour l'espièglerie que pour les études approfondies, et il semble

certain que, déjà, les rêves de Jacqueline soient ailleurs. Lorsqu'une amie découpe dans un journal local une

annonce concernant des auditions pour le Conservatoire de Lille, elle s'inscrit en secret, ignorant que la recherche

concerne en fait des chanteurs classiques.

Cette erreur de trajectoire ne s'avèrera pourtant pas inutile.

line renaud et son inséparable pygmalion loulou...gasté !!

Arrivée devant le jury, elle chante un blues très populaire écrit par Loulou Gasté, "Sainte-Madeleine",

puis, à la demande des jurés, une deuxième chanson, choisissant un autre titre de Loulou Gasté, " Mon âme au diable ".
Louis Gasté est à cette époque l'un des plus connus parmi les compositeurs à succès. Très jeune, il a été guitariste,

et surtout le seul véritable joueur de banjo professionnel de France.
Engagé à 18 ans pour accompagner Joséphine Baker, il a participé, avec des copains comme lui passionnés de jazz,

à la création du célèbre orchestre de Ray Ventura et ses Collégiens, puis a enregistré en duo à la guitare avec

le génial Django Reinhardt avant de se mettre à composer.
Dès sa première chanson, le très insolite et très humoristique " Avec son ukulélé ", il a remporté un triomphe,

qui ne fera que se confirmer au fil du temps avec par exemple
"Le chant du gardian" pour Tino Rossi, "Le petit Chaperon Rouge", "Le porte-bonheur",
ou encore 'Luna Park" et "Battling Joe" pour Yves Montand.
A l' issue des auditions, un monsieur se présente à Jacqueline Enté.

"Je suis, dit-il, le directeur de Radio Lille, et nous recherchons une chanteuse".

Ayant convaincu sa mère de la laisser saisir cette chance, elle interprètera sur les ondes, prenant le pseudonyme

de Jacqueline Ray, un répertoire basé sur les chansons de Loulou Gasté.
En 1945, au lendemain de la guerre enfin terminée, elle décide de tenter sa chance à Paris, décrochant un premier

engagement aux Folies Belleville, l'un des prestigieux music-halls de l'époque.
Josette Daydé, tête d'affiche du spectacle, prend en sympathie cette adolescente au sourire paisible, et, amusée

par son admiration inconditionnelle pour Gasté, propose de le lui faire rencontrer.
Au mois de septembre a lieu le premier rendez-vous entre le compositeur adulé et la petite chanteuse.

Elle a 16 ans, il en a 37, lui trouve du talent, et décide de devenir son Pygmalion, car il pressent en elle l'étoffe

d'une vedette.
Si la voix est belle et la jeune fille mignonne, un travail de fond est cependant indispensable et Gasté explique

ce qu' il lui faudra modifier pour se créer une image nouvelle et une véritable personnalité d'artiste.
La coiffure fait un peu " province ", le comportement sur scène n'est ni étudié ni suffisamment affirmé,

et son pseudonyme manque de panache.
Peu disposée à se plier à des transformations qu'elle juge un peu radicales, elle refuse tout net, puis réalise

qu'une telle chance ne se présentera peut-être plus jamais, et finit par accepter... d'autant qu'elle n'est pas

insensible au charme de Loulou.
Si c'est elle qui choisit de s'appeler Renaud, le nom de sa grand-mère maternelle, il abrège son prénom en Line,

plus original et plus doux que Jacqueline, lui impose des cours de danse et de chant, modifie sa coupe de cheveux,

son style vestimentaire, et insiste pour qu'elle suive un régime amaigrissant...

C' est à Radio Luxembourg, où elle chante dans les émissions très populaires du dimanche matin, que Line Renaud

fait ses débuts nationaux.
Ayant signé un contrat avec les disques Pathé Marconi, elle enregistre " Ma Cabane au Canada ", une composition

de Loulou Gasté, bien sûr, qui lui vaut de se voir attribuer le grand Prix du Disque.

Peu après, elle passe en première partie d' Yves Montand au Théâtre de l' Etoile.

Le reste is history comme diraient les américains...!!

Vidéo rare "hier encore" line renaud 
avec charles aznavour...!!

Vidéo gérard depardieu fait sa promo
"diamant 13" !!
et sa fille est là...non pas julie depardieu... "roxanne" jolie métisse
 qu'il a eu avec le mannequin karine sylla...
Un père et sa princesse...  Son père, son héros, c'est Gérard Depardieu.
Dont le surnom est Pinpin... Roxane, née des amours de l'acteur avec
Karine Silla (aujourd'hui épouse de Vincent Perez), vous a été  présenté "officiellement" dans Paris Match.



 La "princesse" de Gégé, comme beaucoup d'ados de son âge,
elle aime le rock tendance métal, les animaux et Johnny Depp...
...qu'elle a eu la chance de côtoyer grâce à son père qui l'a
hébergé pendant quelques mois. Et plus tard, elle n'a pas forcément envie
d'être comédienne. Quoique. "Tout le monde est dedans : ma belle-mère,
mon père, mon beau-père, ma tante, mon oncle, ma mère, mon frère, ma soeur,
mon beau-frère... En fait, ça dépend. J'ai envie et puis pas. En fait,
j'aime pas les essais. J'ai déjà joué dans des petits spectacles d'école. Mais en même temps, je n'ai pas envie d'être connue. Plus tard peut-être."

          tous les deux !!

    

Vidéo bande annonce "la curieuse histoire
de benjamin button" film prometteur et
alléchant !!
13 oscars nominations !!
Le très attendu Benjamin Button de David Fincher aurait quelques similitudes,
 voire une ressemblance frappante, avec le film Forrest Gump. Eric Roth, le scénariste est commun aux deux films, ce qui explique une récurrence et des références que l’on connaissait déjà. Mais visuellement, grâce au travail de comparaison du site Funny or Die, on trouve de véritables copié-collé du film.
On ne peut pas les blâmer, on ne change pas une recette qui gagne.

L'histoire de Benjamin Button,

 un homme ordinaire qui, à l'aube de la cinquantaine, se met subitement à
 rajeunir. Il tombe alors amoureux d'une femme de 30 ans.
Mais comment continuer à l'aimer s'il ne cesse, année après année, de
remonter le cours du temps ?

Deux ans après un très bon Zodiac, Fincher est de retour avec l'adaptation
de la nouvelle de Francis Scott Fitzgerald. Avec Brad Pitt (3ème collaboration avec Fincher), Cate Blanchett et Tilda Swinton.
Un film au budget conséquent (entre 150 et 200 millions de $) et dont la post-production aurait nécessité 9 mois, compte-tenu des nombreux effets spéciaux.

  Un homme naît
avec les symptômes physiques et mentaux d’un vieillard et n’aura de cesse de
rajeunir durant toute son existence. Bref il vit sa vie à l’envers et va tomber amoureux
d’une femme, avec toutes les complications que cela implique.
 L’excellente idée du scénario est d’avoir fait de cet homme extraordinaire quelqu’un
d’ordinaire qui va vivre sa vie « normalement » sans que personne n’accorde réellement
d’importance à cette singularité.
 Il ne sera jamais considéré comme un phénomène de foire ou un cas d’étude scientifique.
Il faut ici souligner la qualité de l’interprétation de Brad Pitt, tout en retenu, comme une
éponge développant ses émotions en absorbant les expériences personnelles de chaque
personnage qui croise sa route.

On pense évidemment beaucoup à Forrest Gump
et pour cause : il s’agit du même scénariste !
Mais là où le film de Robert Zemeckis s’embourbait dans des fadaises pseudo philosophiques
du type « la vie c’est comme une boîte de chocolat » et nous donnait à ressentir le temps qui
passe en engageant son personnage dans des références historiques grossières (le Vietnam,
les hippies, Kennedy etc...),
 l’œuvre de Fincher choisit de suggérer avec une délicatesse mélancolique les effets du
temps sur ses personnages et sur leur environnement.
Le cadre intemporel de la Nouvelle-Orléans est un adjuvant de taille dans cette optique
d’une évolution tout en douceur. Une douceur languide agréable mais terriblement cruelle.

L’histoire d’amour entre Benjamin et Daisy,
en plus d’être incroyablement originale (ce qui est devenu rare au cinéma), est tout
 bonnement déchirante, broyée par une logique quasi géométrique prenant la forme d’une
symétrie.
Leurs tragiques trajectoires sont tracées d’avance, dès leur rencontre, quand Daisy a une
 dizaine d’années et Benjamin l’allure d’un vieillard ; cela donne lieu d’ailleurs à une scène
dérangeante illustrant les segments temporels durant lesquels leur amour sera bien entendu physiquement impossible. Leur bonheur n’est viable qu’aux alentours de l’axe de symétrie.
 Ils se croisent, les traces du temps disparaissant sur l’un pour apparaître sur l’autre,
 un phénomène progressif, rythmé par de terribles ellipses, qui échappe fort heureusement
 au vulgaire pathos.

Au final,
le film semble nous dire ceci : que l’on naisse à 0 ou 80 ans, on traverse la vie seul, écrasé
 par un destin funeste inéluctable, rongé par les remords et les souvenirs qui se noieront de
toute façon dans le Styx rampant d’une catastrophe naturelle (Katrina en l’occurrence).
 Alors autant essayer de bien agencer son emploi du Temps imparti.